jeudi, janvier 19, 2006

 

Ovni sonores.

MOTORMARK
Après la sortie de leur album Chrome Tape, un explosif cocktail d’electro dynamitée et de rock psychédélique voire totalement psychotique, le duo déjanté de MotorMark se met en quête de grands espaces et prend la route des festivals pour le plus grand plaisir de leurs fans. Jane Motoro et Marko Poloroïd, véritables bêtes de scènes, armées de guitares, d’une boîte à rythmes et de beaucoup beaucoup de talent, prendront à n’en pas douter leur pleine mesure sur scène. Le souffle de fraîcheur ou plutôt l'ouragan de fraîcheur de l’été 2006

54 NUDE HONEYS
A band is formed by Viviv(Ba) and Kotome (Gr) in 1992. The band name is given from the name "54 Heavenly nude honeys" of American nude cards. From 1995 to 1996, five CD are released because of contract with Epic Sony Record, but quit management office and Epic Sony in 1997. Album "Drop the gun" is released from UK Project (Japanese Indies label) in 1998. In 2000 1 single and 1 album are released from Mademoiselle Records(UK indies label) Also the band goes to UK for tour (Wild Weekend, club under solo, stay sick, dublin castle) First overseas tour is made successful. From 2001 to 2002, many shows are performed actively all over Japan. In 2003, the band goes to New York City for recording and live shows at CBGB and MEOWMIX. 2004~2005, The Band is acting NYC and Japan half and half. They usually play in Manhattan, sometime NJ. & PA.

THE REMAINS
In 1964, they took Boston by surprise. The line of fans stretching from Kenmore Square to Fenway Park meant only one thing: It was "Remains Night" at The Rathskeller. By New Years Day 1965, The Remains were signed to a major recording deal, playing to packed venues throughout New England. By the end of the 65' they had two regional hit singles on Epic Records and had performed for 14 million viewers on Ed Sullivan’s Christmas Show. In 1966, the group had two more regional hits, appeared on NBC TV's Hulaballoo, and garnered a coveted spot as opening act on The Beatles’ U.S. tour. Enthusiastic response to The Remains' performances were echoed by rave reviews in the local and national press. Following The Beatles tour, The Remains' first and only album was released by Epic Records. By then, The Remains had disbanded. Now, over three decades later Barry Tashian, Vern Miller, Bill Briggs and Chip Damiani are back. With the release of their new album, “Movin’ On,” and recent sold out performances in Europe and the U.S., The Remains are once again taking the music scene by storm.

HUSHPUPPIES
L’alchimie est évidente et les cinq musiciens, développent un style unique, dosage subtil entre le rock le plus sale et les mélodies les plus atmosphériques. En faisant du live un terrain de jeux, qu’ils maltraitent et enflamment à chacun de leurs shows, les HushPuppies rallient petit à petit un public parisien peu habitué à ce genre de démonstration. Au cours de l’été 2003, les HushPuppies saisissent au vol l’opportunité de rentrer en studio : ils y peaufinent et approfondissent leurs morceaux qui prennent alors une couleur nouvelle. Quatre d’entre eux sont mis en boîte, et chacun possède sa singularité : aussi à l’aise avec leurs penchants garage rock qu’avec leurs inclinations électro-psychédéliques

JON SPENCER and MATT VERTA-RAY are HEAVY TRASH.
There is a secret place where even the best-intentioned rockabilly explorations are scarred by dirty guitars, bad dreams, and lust gone wrong...Where murder ballads rub up against filthy R&B and frantic rock'n'roll...Where country ruminations drip with echo and sadness... This is where Spencer and Verta-Ray fermented their very souls and gave birth to Heavy Trash, the perfect soundtrack for boozy all-night throw downs, pettin' parties and psychedelic fright shows. Mr. Spencer, of course, is the Shudder and Shake behind the Blues Explosion and The Most Exciting Performer in Rock'n'Roll Today. Mr. Verta-Ray chopped heads with Speedball Baby and with six razor-sharp strings he carved these songs from Raw Tombstone and committed them to tape in his basement studio in New York's Lower East Side. The result is Heavy Trash. Play it for the one you love. You cannot lose.

GOLDIE
Le patron du label Metalheadz est de retour. Goldie, le célèbre dj et producteur anglais sort une nouvelle compilation mixée (2 cd), Goldie.co.uk - A Drum&Bass DJ Mix, où l'on retrouvera des titres du label Metalheadz plus ou moins récents et trois productions de l'homme aux dents d'or lui même sous le pseudo de Rufige Kru. A vos platines! Loin de s'endormir sur ses lauriers, le plus mégalo des junglists nous donne quelques nouvelles sur son site officiel. Alors qu'il vient de mettre une touche finale à son autobiographie, l'artiste anglais annonce la mise en chantier de son premier long-métrage. Il aurait d'ores et déjà terminé le scénario: l'histoire d'un orphelin dans une grande ville qui sort de la pauvreté grâce à sa musique. Goldie a déjà commencé la bande-son, et il compte s'atteler à la réalisation très prochainement. Il indique tout de même qu'il n'interprétera pas son propre rôle...

SOULWAX / 2 MANY DJ'S
Après la découverte du mix et du remix, arrive la mode de l'assemblage saugrenu. Ce nouveau concept, aussi connu sous le nom de "Bastard Pop", est basé sur l'accouplement incestueux de deux morceaux que rien ne prédisposait à un tel rapprochement (du genre New Order avec Kylie Minogue), et s'est développé grâce à quelques maxis sortis de façon plus ou moins légale. Les deux DJs de Soulwax font partie des fondateurs de cet élan officieux né d'une culture du mix dévergondé Ces deux Belges nous présentent donc dans un disque de plus de 60 minutes, les 45 morceaux dont ils ont obtenu les droits auprès des maisons de disque (sur un total de 187 demandes) accolés et mixés de façon complètement loufoque. Du rock saignant des Stooges à la techno en plein revival 80's de Felix Da Housecat en passant même par la soupe des Destiny's Child, les deux DJs, assurément hilares derrière leurs platines, réinventent chaque morceau visité, en libérant pleinement leurs potentiels défoulatoires. Méchamment rythmé et balancé sans pour autant sombrer dans le vulgaire dancefloor, les DJs de Soulwax sont parvenus à obtenir un ensemble cohérent et solide qui ne manquera pas de faire hocher la tête de l'auditeur en cadence soutenue. Ce qui était loin d'être gagné d'avance vu leur invraisemblable playlist. Attention track caché ! Dès le premier morceau, effectuez un habile retour en arrière sur votre platine CD jusqu'à atteindre 4:15 en négatif, pour découvrir un remix electro du Can't Get You Out Of My Head de la charmante Kylie...1. can't get you out of my head (soulwax elektronic mix) (kylie minogue) Peter Gunn (live) (emerson lake & palmer)/ Where's your head at (basement jaxx) Fuck the pain away (peaches) I'm waiting for the man (velvet underground) J'aime regarder les mecs (polyester) / Dance to the music (sly and the family stone) / Oh sheila (ready for the world) I wanna be your dog (dakar & grinser) Disko kings (ural 13 diktators) The "O" medley (bobby orlando) / Silverscreen-shower scene (felix da housecat) No fun (the stooges) / Push it (salt'n pepa) Joe le taxi (hanayo with juergen paape) / Crush on you (the jets) Funkacise (funkacise gang) / Motocross madness (soul grabber) / French kiss (lil louise and the world) Serious trouble (zongamin) Androgyny (garbage) 'thee glitz mix' by felix da housecat Disc jockey's delight, vol. 2 (frank delour) / Kaw-liga (the Residents) Shake your body (carlos morgan) Into the stars (alphawezen) Concepts (interstellar) / 99 luftballons (nena) Independent women, part 1 (a capella) (destiny's child) / Dreadlock holidays (10CC) 9 to 5 (dolly parton) / Eple (royksopp) Death disco (arbeid adelt) Keine melodien (jeans team) I wish (a capella) (skee-lo) / My gigolo (maurice fulton presents stress) / Cannonball (the breeders) Human fly (the cramps) Danger ! High voltage (the wildbunch) Don't bring me down (op:l bastards) Hand to phone (adult) LA rock 01 (vitalic) I was made for loving you (queen of japan) The beach (new order) / Detroit Grand Pubahs - SandwichesI sit on acid (lords of acid) Start button (streamer feat private thoughts in public places)

KILL THE YOUNG
Les trois frangins Gorman, trois gamins blafards du nord anglais ayant fait leurs gammes incandescentes dans la sueur enfumée d’innombrables concerts, ont contrairement à ce que jure leur culotté patronyme – l’adolescence increvable. Ils ont à peine l’âge de jouer seuls avec des allumettes qu’ils veulent tout incendier. Frais postpubères, ils sont encore pleins de l’émotion puissante de celui qui a découvert il y a peu, et en même temps, les joies brûlantes du sexe et les dévastations des amours déçues. Ils sont, bien sûr, pleins des défauts de leurs qualités : amateurs de maturité et de finesse d’écriture, vieux routiers que le rock bas du front a fini par fatiguer, overdosés aux hormones de jeune chien furieux, passez votre chemin. Mais si Placebo vous hante, si le romantisme bravache et adolescent de Muse vous fait vibrer, vous découvrirez probablement en Kill The Young de dignes nouveaux héros. Produit par Dimitri Tikovoï (Trash Palace, Placebo) et mixé au rouleau compresseur par Flood (Depeche Mode, U2, PJ Harvey), le premier album des trois garçons réussit une synthèse étonnante entre le sens mélodique et rythmique de leur lointaine ascendance britannique (New Order, Smiths, Undertones) et la puissance sonique des groupes pour teenagers white-trash yankees (Green Day), qui révèle des refrains propres à squatter l’antenne de MTV, des petits hymnes pour dance-floors – ou stades – en ébullition.

THE YOUNG GODS
2002 les propulse au Zenith. Second Nature, au ton résolument électro-pop dévoile en effet la seconde nature des jeunes dieux (Le son dans les yeux). Sans jamais sombrer dans les méandres opportunistes des modes, ils ont su créer un monde de pulsions organiques. Le trio helvète est un créateur de son, il ne subit pas la mode, il l'a fait. Ce n'est donc pas un hasard si The Edge, guitariste de U2 plébiscite les Young Gods comme étant "l'influence majeure dans l'histoire de la musique contemporaine" et que Bertrand Cantat chanteur de Noir Désir s'exclame sur scène, "Les Young Gods sont le meilleur groupe du monde". C'est donc d'un album un peu plus psyché, un rien plus mental dont il est question avec Second Nature. Avec des morceaux phares comme Astronomic, Lucidogene ou Supersonic, dans la pure veine des Young Gods, ou Laisser couler (le son), toit du monde, Attends, qui sont sans doute les "Ambient" les plus fort de l'album. Avec ces voyages astraux, The Young Gods démontrent qu'ils poussent le mur du son encore plus loin. L'intervention du label Intoxygene, pièce majeure du retour des Young Gods, c'est en deux ans : le single Lucidogen, preview de l'album "Second Nature" sorti en 2000, l'album live at Noumatrouff 1997, le premier album remasterisé avec en prime les 2 début singles "Envoyé" et "Did you miss me".La sortie récente du maxi vinyl, déjà Collector "Denature 1" contenant trois remix astronomiques d'"Astronomic". Je me souviens parfaitement de la première apparition des Young Gods à l'Elysé Montmartre, à Paris, vers 1986-1987. Ils avaient crée la surprise, emportant la salle sous un déluge de pulsions sonores et d'énergie cosmique. Depuis l'émotion est restée intacte, ils passaient en première partie et leur show avait été tel que je ne sais plus quel groupe j'étais venu voir ce jour-là.

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