mardi, mai 27, 2008

 

Cowardcounty, ça tourne ? district.

Quelques heures de rushes en poche Pea.k et moi nous vous annonçons que : La télé c’est pas du gâteau. Après visionnage des images de ce week-end nous réalisons que c’est du boulot et que la route sera longue et pavée d’embûches. Pour l’instant nous avons le sentiment d’avoir fait de la radio filmée. Les habitudes ont la peau dûre. La position du micro ne doit pas gêner la caméra, ma position face caméra, des lumières jusqu’aux peaux qui brillent… Il faudra revoir tout ça… On doit livrer un 2mn pour demain soir, c’est un contre-la-montre en attendant la version longue d’autant plus que ce week-end c’est rebelote. Acheté l’édition collector de American gangster dont la version longue (et non director’s cut) perd énormément en puissance parce que traînant en longueurs. Vu également le petit lieutenant que je n’avais jamais vu, c’est film n’est pas un polar mais plutôt un policier et presque un film de policier, froid comme un documentaire, les acteurs jouent à peine, on dirait de l’impro filmée et tout coule comme de l’eau. Prenant. En seconde partie de soirée France 2 rediffusait the ninth gate de Polanski, film que j’avais détesté en salle, mais avec du recul, je constate que le personnage de Dean Corso joué par Depp à fait fantasmer une bonne tripotée de geeks voulant jouer les Hellblazers des bouquineries (dont je fais partie). Variation sur le thème du Necronomicon, ça renifle autour sans jamais véritablement atteindre son but, en prime une fin complètement foirée. Dommage. A noter que certaines scènes sont tournées dans le 47. Pour la petite histoire. Et puis les connasses de sœurs Seigner… L’émission un dîner presque parfait fait un carton sur M6, encore cinq ans à ce rythme et j’imagine ces armées de quadras obèses défilants dans les rues de la capitale pour crier la honte d'avoir gagné une encyclopédie de la truffe en bouffant comme des gorets tous les soirs de la semaine. L’émission qui fait rejaillir le gros con envieux fourré à la mauvaise foi qui se niche en chacun de nous : "A ce con il à dit que mes pâtes elles étaient collantes ? Tu vas voir demain comment je vais te pourrir…." Je viens de refermer le huitième volume de Sandman en français (le quatrième chez Panini) et j’ai souvenir de l’avoir survolé jadis en TPB et en VO je reconnais avoir capté les grandes lignes mais avoir zappé pas mal de cases du coup j’avais une impression plutôt mitigée car je trouvais les dessins très moyens tirant vers le nul. La version française donne sa véritable ampleur au récit : les histoires sont exceptionnelles, les découpages sont bons. Cette saga est un chef d’œuvre intemporel. Hier soir, revu Rocky 5, si j’osais j'y mettrais presque trois étoiles. Il y a toute l’histoire de Star wars dans ce film. Le padawan qui bascule vers le côté obscur de Don King, c’est Obi-wan et Anakin qui trinquent au sirop de la rue. Et puis Philadelphie…

Comments:
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