mardi, mars 21, 2006

 

Belle & rebelle VS moche et re-moche.

Le voila le vrai poing levé, et pas l’autre connasse d’Amel Bent qui déblatère tout un tas de conneries dans TéléPoche (ok c’est pas libé non plus) je cite "J’aime être regardée, j’aime que l’on s’occupe de moi, que l’on me prenne en photo, je ne suis pas la pour parler de ma vie privée merde !" A chaque fois que j’écoute son blowin’ in the wind, Here’s to you, le déserteur ou le résistant j’ai les poils au garde à vous. "D'un père mexicain et d'une mère Irlandaise, la jeune Joan passe son enfance en Californie du Sud, où elle apprend à jouer du yukulélé et se met très tôt à chanter. Sa carrière commence alors qu'elle est encore adolescente, à Boston en 1959. Pendant les années 60, Joan Baez devient leader de la scène folk alors en plein renouveau. Elle enregistre plusieurs albums qui deviennent rapidement disques d'or et joue dans de nombreux festivals. En 1963 elle rencontre Bob Dylan et ses chansons prennent un tournant plus politique. On se souvient notamment du fameux 'We shall overcome'. Après une période de Folk populaire, sa musique tourne à la Country, influencée par la passion de son mari, militant pacifiste, David Harris. A cette période, le point culminant de sa carrière est l'album 'Diamonds and Rust' en 1975. En 1971, de passage au festival de Cannes pour la présentation du film 'Sacco et Vanzetti' dont elle chante quelques titres, elle donne deux concerts en soutien aux objecteurs de conscience espagnols. Après une décennie en Europe, Joan Baez retourne vers son public américain à la fin des années 1980 avec 'Recently', sur lequel elle reprend des chansons de rock-stars politiquement impliquées comme Peter Gabriel et U2. En 1995, 'Ring Them Bells', propose aussi des contributions de Dar Williams, Indigo Girls et de quelques autres artistes féminines Folk. Elle reste aujourd'hui l'un des symboles musicaux de la 'révolution' américaine des années 1960. De tous temps, Joan Baez s'est impliquée dans de grandes causes, lutte contre la ségrégation raciale, mouvements féministes, pacifisme pendant la guerre du Vietnam (elle a passé Noël 1972 à Hanoi), contre l'apartheid, et elle a accordé plus récemment un soutien aux opprimés de Bosnie. Si vous aviez eu l'occasion de lui parler ou de lui écrire... que lui auriez-vous dit ? Vous n'avez pas le loisir de choisir quand et comment vous allez mourir. Vous pouvez toutefois décider comment vous aller vivre." "Les questions hypothétiques obtiennent des réponses hypothétiques." "L’action est l’antidote du désespoir."

Comments:
Tu vois une différence, toi, entre télépoche et libé ?
Pourtant, il me semble que c'est le même combat !!!! Même intelligence des propos .....
 
La difference majeure à mon sens c'est qu'on ne laisse pas parler Amel Bent dans Libé. Sont pas cons à Libé.

Quelle conne cet Amel Bent.
 
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