jeudi, mars 29, 2007

 

UFO 4 free (ou GEIPAN dans la lune).

"Objectif : transparence. Le Centre national de la recherche spatiale (Cnes) a mis en ligne jeudi les archives du Geipan, le groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Parmi ces phénomènes non identifiés, l'étrange "rencontre rapprochée du 3e type" à Cussac (Cantal), en 1967. Le 29 août, deux enfants qui gardent des vaches dans un pré aperçoivent "quatre petits êtres noirs d'environ 1,20 m", "à proximité d'une sphère posée sur l'herbe", explique le Cnes. "Oh, il y a des enfants noirs !", crie le garçon de 13 ans à sa sœur, âgée de 9 ans. C'est alors que "les êtres insolites s'agitent et s'élèvent dans les airs pour rentrer dans la sphère par le haut et la tête la première". Un "retardataire" s'élancera dans le ciel pour rejoindre la sphère déjà au-dessus de la cime des arbres. La sphère monte silencieusement en spirale, devenant de plus en plus brillante avant de disparaître rapidement dans un sifflement. Subsistent une forte odeur de soufre et un dessèchement de l'herbe sur le lieu du décollage, comme le constateront les gendarmes ultérieurement. Le témoignage des enfants, apeurés, est corroboré par le garde-champêtre, qui n'a pas vu la sphère mais a entendu le sifflement et senti l'odeur de soufre. Le Gepan, ancêtre du Geipan, mènera une seconde enquête onze ans après les faits sans parvenir à expliquer le phénomène. Et le Cnes d'indiquer en 2007 : "Aucune explication rationnelle n'a été donnée à ce jour de cette rencontre exceptionnelle entre des enfants et des êtres insolites dont il est impossible de nier le comportement intelligent et semblant disposer d'une technologie qui nous est inconnue". Cette affaire étrange fait partie des phénomènes non identifiés ou difficilement explicables "malgré une très bonne collecte d'informations et des témoignages crédibles", selon Jacques Patenet, responsable du Geipan. Ce type de cas représente 28% de l'ensemble des cas d'observations traités par le Geipan. Il y a également des phénomènes non identifiables, faute de données (30% du total) ; des phénomènes probablement identifiés, pour lesquels le Geipan a "des intimes convictions mais sans preuves" (33%) ; et enfin, des phénomènes parfaitement identifiés et explicables (9%). Pour l'instant, seules les archives des 20 dernières années ont été mises en ligne, soit 400 cas. Mais les dossiers du service, constitués de 100.000 documents (le premier remontant à 1937), concernent un total de 1600 cas et 6000 témoignages. A terme, tous seront mis en ligne, y compris les photos et films collectés. L'essentiel de ces documents est constitué de procès-verbaux établis par les gendarmes et de comptes-rendus de pilotes et de contrôleurs aériens Deuxième affaire inexpliquée : le 28 janvier 1994, un Airbus A300 reliant Nice à Londres survole la région parisienne. Altitude : 11.900 m. Vitesse : 650 km/h. Le chef stewart signale alors au commandant de bord "un phénomène qui fait penser à un ballon météorologique". "C'est un grand disque brun-rouge dont la forme est constamment changeant dont l'altitude est estimée à 10.500 m (...) et qui semble de très grande taille", détaille le Cnes. Durée de la "rencontre" : une minute. Le pilote qui, comme le copilote, a vu le phénomène ne témoignera pas avant février 1997, "sans doute par crainte du ridicule". L'enquête durera trois ans. Il y a "corrélation absolue entre la signature radar et le phénomène observé". Lequel, qualifié d'"exceptionnel", "n'est pas expliqué à ce jour et laisse la porte ouverte à toutes les hypothèses". (1) Le Geipan est doté d'un comité de pilotage qui intègre des représentants du Cnes bien sûr mais aussi de la gendarmerie nationale, de la police, de la sécurité civile, de l'aviation civile, de l'armée de l'air, de Météo-France et de scientifiques."

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