mercredi, octobre 29, 2008

 

Fuckboroughts, 11th avenue.

Et bien oui Sœur Emmanuelle se masturbait du coup les journalistes s’empressent de boucler leurs papiers par "rien n’a jamais pu altérer un foi aussi inébranlable". Les mesures de Sarko pour relever la France n’en finissent plus, d’ailleurs il a de ce pas décidé de poursuivre en justice des concepteurs des poupées vaudou à son effigie, bon sang qu’est ce que j’adore cette phrase, parmis les autres phrases à la con notre cerveau ne fait plus trop la différence, mais si vous vous penchez bien reécoutez attentivement : "Le président Sarkozy porte plainte contre des poupées vaudou à son effigie…" Mon dieu que c’est drôle. Presque Lynchien non ? Autre phrase incroyable et prononcée au journal du soir de Chazal : "Nous, l’association de défense des hommes en jupes, nous sommes quand même victimes de vachement de préjugés…" Ou cette phrase également très drôle venant de Marseille "Bon, okay on a plus le droit de siffler la marseillaise mais on a quand même le droit de siffler les Marseillais." Plein cœur de la nuit, incroyable émission sur le Soul power, de Sam Cooke en passant par Nina Simone, l’engagement politique dans la musique, du I am somebody des renegades of funk, du P funk à don’t believe the hype de Public enemy, des DHOH et le television, drug of a nation, NWA, Wu tang, Birdman ou encore Kanye west, le message de Malcolm X est le même encore aujourd’hui : "the price of freedom is death". Non sans dec' quand j’y pense, le vrai imposteur du paf à gueule de traître c’est quand même ce crétin de Mouloud Achour… Je passais devant les bacs à soldes en bon passant qui passe et pi la boulette, perdu le contrôle, je ne sais pas ce qui s’est passé bon toujours est-il que je me tape rechute/gros craquage. Du coup je repars avec l’édition collector de la Mouche qui vieillit bien mieux que sa séquelle, le coffret Monty Python Flyin circus, Sweeney Todd en collector mais qui se révèle être con comme la lune décidement j’ai beaucoup de mal avec les films où les gens chantent à tous les coins de rue, ça me rappelle trop le sketch de Gal Elmaleh (être enfermé dans un Donjon c'est trés difficile) Et puis pour finir le coffret Kiyoshi Kurosawa avec ses quatre premiers films dont l’incroyable et surréaliste Kairo, je n’avais rien vu de ce jeune réalisateur et je dois dire qu’en deux temps trois mouvements l’affaire était pliée : Chuis grave fan. Non sans déconner à mon époque on se tapait des heures de Bombjack voire de Ghost n’Goblins mais pas des interrogatoires ni des déportations : Il est où l’intérêt des Serious games ? Ah et puis comme vous : je choisis mon netbook.

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